Le professeur Marshall Johnson, professeur à la retraite et ancien chef du département d'embryologie à l'Institut Daniel de l'Université Thomas Jefferson de Philadelphie, fait partie des scientifiques qui ont confirmé la justesse des déclarations du Coran dans le domaine de l’embryologie au verset 14 de la sourate « les croyants » :
“ثُمَّ خَلَقْنَا النُّطْفَةَ عَلَقَةً فَخَلَقْنَا الْعَلَقَةَ مُضْغَةً فَخَلَقْنَا الْمُضْغَةَ عِظَامًا فَكَسَوْنَا الْعِظَامَ لَحْمًا ثُمَّ أَنْشَأْنَاهُ خَلْقًا آخَرَ ۚ فَتَبَارَكَ اللَّهُ أَحْسَنُ الْخَالِقِينَ"
Ensuite, Nous avons fait du sperme une adhérence ; et de l'adhérence Nous avons créé un embryon ; puis, de cet embryon Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous l'avons transformé en une tout autre création. Gloire à Allah le Meilleur des créateurs
Ce professeur américain qui a fait des recherches sur les versets d'embryologie du Coran, a déclaré : « Le Saint Coran met l'accent sur les différents stades de développement du fœtus qui sont connus des embryologistes aujourd'hui. La description des stades de développement du fœtus dans le Coran, ne peut être accidentelle. »
« Le Coran remonte à 1400 ans, alors que le microscope a été inventé des siècles après le prophète de l'Islam, et ne pouvait pas agrandir plus de 10 fois, de plus l'image n'était pas claire. Je ne vois rien, ici, qui vienne contredire le concept selon lequel ses paroles ont été prononcées sous l’influence d’une intervention divine », a-t-il conclu.